« Chercher ses racines, c’est au fond se chercher soi-même : qui suis-je ? Quels sont les ancêtres qui m’ont fait tel que je suis ? Des noms d’abord, des dates, quelques photos jaunies ou, avec plus de chance, un testament, une lettre. » Claude Levi-Strauss
Pourquoi étais-je généalogiste familiale professionnelle ?
Chercher mes racines : j’avais fait mien ce chemin.
Ma passion de la généalogie m’a amenée, au fil des années, à voyager dans le passé de ma famille (et de celle de mon époux, et bien d’autres). D’ancêtre en ancêtre, j’ai tiré de l’oubli de nombreux anonymes, avant de m’intéresser à leurs villages, leurs métiers… à leurs vies. Ce périple historique m’a conduite à travers tout le royaume de France et de Navarre, mais aussi parfois hors de l’Hexagone… J’ai écumé les salles d’archives, à Aix-en-Provence, Angers, Paris, au Mans, à Amiens, Rouen, Évreux, Rennes, Nanterre… |
|
Au fil de mes recherches…
- J’ai développé des spécialités : les départements de la Sarthe, du Maine-et-Loire, de l’Eure et de la Seine-Maritime ;
- Je me suis constituée une base de données personnelle : plus de 80 000 individus, dont notamment plus de 23 000 sur la Sarthe ;
- Vous pouvez consulter l’ascendance de mes enfants sur Geneanet.
Mes trouvailles généalogiques
Mes recherches ont été jalonnées de trouvailles et découvertes marquantes.
Voici quelques morceaux choisis :
- Une fille-mère au XIXe siècle (5ème génération), dans mon ascendance directe. Plutôt banal en soi me direz-vous, mais sans elle, je n’aurais pas porté le même nom de jeune fille !
Voir la descendance de en cliquant sur sa signature.
- Une légende familiale qui vole en éclats : non, nous ne descendons pas de la famille impériale russe, contrairement à ce que soutenait mordicus mon arrière-grand-mère paternelle !
Voir l’ascendance de en cliquant sur sa signature.
- Un ancêtre… prolifique : Guy BEAUGENDRE, père de 27 enfants ! Il eut ses enfants de quatre épouses, entre 1735 et 1772 à Saint-Christophe-des-Bois (35); le dernier d’entre eux naquit après son décès.
Voir la descendance de en cliquant sur sa signature.
- Et un cousinage – lointain certes, dans le temps et géographiquement – entre moi, angevine aux origines éclectiques, et… mon époux, sarthois « pure souche » (en apparence du moins, voilà qui mérite bien les guillemets). 🙂